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@cine.pill
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D'après la séquence documentaire de l'ouverture, je pouvais dire qu'Oslo, le 31 août est une histoire sur le lien humain avec leurs souvenirs et leur ville natale. Mais en regardant plus loin dans le film, j'ai réalisé que c'était aussi une histoire sur le lien humain avec la dépression et leur quête du bonheur dans une vie dénuée de sens qui mène finalement à l'autodestruction.
Joachim Trier a capturé la vie d'un jour d'un toxicomane en convalescence dans sa ville natale d'Oslo d'une manière si belle et poignante. Il n'est pas seulement capturé avec succès la beauté mondaine d'Oslo. Mais il a également raconté l'histoire grave et déprimante d'un homme souffrant d'une dépendance et d'une dépression causées par des pensées existentielles auxquelles il ne pouvait échapper.
Les petits moments du film en ont vraiment fait une expérience poétique. De la scène au café où notre personnage principal Anders est assis et observe les gens, à la scène où il a parlé avec son ami au banc du parc. Ils sont tous gravés dans mon cerveau comme un soulagement et je ne m'en débarrasserai jamais, même si je le pouvais.
By @cine.pill
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